Black Cat ; Deamon Blake, l'estomac sur deux pattes.

:.:.: Pseudo :.:.:

Black Cat.

:.:.: Prénom :.:.:

Deamon.

:.:.: Nom :.:.:

Blake.

:.:.: Âge :.:.:

Inconnu.

:.:.: Physique :.:.:

Il passe devant vous avec son charme ravageur, son sourire destructeur. C’est un as au sourire immaculé de cynisme qui possède des allures tout autant mystérieuses que belliqueuses. Des mèches noires virevoltent en tout sens sur son crâne au faciès triangulaire. Parmi celles-ci, deux oreilles félines encadrent l’intrigue qu’est sa personne. L’enfant sans nom ne se coiffe jamais, sauf une casquette, un bandana ou une capuche pour vaguer dans la masse humaine de New York. Ses yeux illuminent des cieux de sang, où résident des fentes d’un noir abyssal. Ces globes d’un augure d’horreur en lambeaux de rubis signent toute fin au moindre opportun ; la mort ravage les coeurs comme les corps. Personne n’arrive à les percer pour deviner les pensées de notre homme-chat qui se déplace avec une adresse légendaire pleine d’allégresse. Les agglomérations au sein de ses iris ensorcèlent de sempiternelles ritournelles d’éclats nacrés, dont ses traits enfantins.

Une peau hâlée dû à de longues journées à flâner dans les parcs, son corps d’une maigreur effrayante se tisse en une musculature subtile, mais très flexible. Des griffes noires tiennent lieu des ongles sur ses mains & sur ses pieds, ainsi qu’une queue au crin de la même obscurité ravit le bas de son dos. Un style plutôt banal complète sa personne à la fois intrigante & élégante. Du premier coup d’oeil, son être respire la félinité, la noblesse, une force d’une joie illimitée. Ses lèvres fort goûteuses ne peuvent dissimuler les délicates canines balançant son merveilleux sourire gisant de cruauté. La voix joueuse du jeune homme étire ses apparences cyniques. Chaque geste qu’il effectue lui profère une ombre gracieuse jonchant sa silhouette scintillante de plaisir.

:.:.: Caractère :.:.:

Son hostilité, son indépendance, son narcissisme, ils couvrent une toile ambivalente des multiples faciès de notre cher Black Cat. Peu importe le moment, il vous arrivera avec les pires folies inimaginables ; trop de télévision pour ce chat sur deux pattes. Deamon miaule pour implorer la compassion ou une chope de lait supplémentaire, mais il sait cracher sur les impuretés également. Sachant l’art extrême de dialoguer sans s’attacher nullement, l’égocentrisme brille chez lui : une profonde envie de liberté. Indomptable, le jeune homme ne considère que son compagnon de vie, Bersek, sans véritablement prendre la peine de se lier aux autres. Ainsi, l’on découvre sa méfiance permanente de l’amitié, de l’amour. Seul un félin peut attirer son attention, seul un congénère aussi mystique que lui-même peut s’accorder l’honneur de parler à Sa Prestance parmi une curiosité d‘autrui. On l’aborde facilement, on ouvre son visage. Or, les pans de son coeur s’obstinent à tanguer sur la mer de la réclusion, du silence. Son antipathie l’isole dans un autre monde, où sa volonté dirige son être dans les flots visqueux de l’existence. Toutefois, en présence d’un ennemi ou du danger, cette tête téméraire prend le temps de poser des gestes certes soudains, mais calculés.

En ville, c’est toujours le type qui sait tout ce qui passe. Un trafic de drogue, une personne très spéciale, un accident... Étrangement, son attitude portée sur la désinvolture & un air las se présument du fait qu’il a la mauvais manie de dire les prochaines paroles de ses rares interlocuteurs, éviter les situations gênantes au moment exact de leur déroulement, ce jeune homme dévoile une capacité innée à les ressentir, du moins semble-t-il. Monsieur Blake se juge apprenti des rues, malgré une immense tendance au laxisme, ainsi que sa soeur la gourmandise. Une sucrerie entre ses pattes, un après-midi entier à se tordre de confort sous l’astre solaire le séduit littéralement. Le plaisir de jouer l’obsède souvent avec son frère Bersek qui nourrit une envie irrémédiable de taquiner les autres...

:.:.: Histoire :.:.:

Tic... Tac... Tic... Tac... Tic... Tac... Tic.. Tac... Tic... Tac...

Le tranchant de l’aiguille s’arrêtait sur le douze, lorsque l’horloge de la ville donnait son dernier tour. Tout finirait ce soir, tout finirait au désespoir. Les secondes s’écoulaient encore quelques instants parmi les minces fissures sur l’immeuble surplombant le laboratoire. Leur ombre s’amplifia au dernier quart de tour de la montre titanesque, avant de s’ouvrir aux cieux. Ainsi, les multiples briques plurent sur les rues noires & vides. La voyante souriait de plein fouet en constatant sa réussite. D’une joie indéfinissable, elle observait cette catastrophe en se léchant littéralement les lèvres avec une candeur mensongère...

Au loin, sur le pavé d’une petite entreprise, une silhouette drapée de noir tournait sur ses pieds fins en chantonnant de bonheur. Elle respirait une bribe d’innocence dépourvue du moindre remords de son massacre. Ses yeux fous comptaient les astres tel le nombre de vies qui s’éteignaient sous le choc de l’explosion. Des flammes dansaient pour office de compagnon à la femme qui baisa de ses iris vermeils chacune d’elles. Or, une esquisse d’erreur trempait son âme, ce petit caprice d’enfant...

Elle aurait été très curieuse de voir à quoi ressemblait sa descendance qu’elle venait d’exterminer. Personne ne devait lui succéder avec sa malédiction qui n’amenait que le mal dans son entourage absent. Parfois, elle nourrissait quelques félins passant sur son trajet, outre ses prédictions en échange de ce délice avare. C’est également pour le même motif que la voyante avait vendu ses ovaires à un clinique pour garantir sa nouvelle stérilité. Elle ne voulait pas qu’une autre vie soit entachée par ce fardeau éternel. Pourtant, son instinct lui incommodait de démolir ce lieu pour réaliser son dernier rêve, car une voiture devrait la frapper le jour même. Dans treize heures, ses côtes se briseraient pour lacérer ses poumons, ses jambes ses sépareraient de son buste en effusion de sang sur la toiture orangée du véhicule. Tamiya souriait, mais sans ressentir le petit garçon tenant un chat sur le toit voisin au sien.

Soudain, il sauta sur ses petites jambes agiles & courut d’une vitesse inhumaine vers celle-ci. Le félin noir poursuivit l’ombre de son frère sans défaillir une seconde, ils se jetèrent sur leur génitrice en griffant ses jolies petites joues. Étendue sur le sol, un visage radieux dévoilait des crocs immondes à ses yeux de prophète. Cette tignasse noire, ces iris écarlates, ces oreilles de chat? La mère indigne sursauta en sentant les pics acérés entailler sa chair.

- Maman... Nous sommes ici ; pas morts.

La voix suave se termina quand il commença à peler son visage effrayé par la phrase ultime que son ouïe pourrait percevoir. En effet, le petite garçon décida d’être indulgent en débutant par ses yeux. Ses petits doigts les arrachèrent méticuleusement pour les manger voracement avec son frère félin. L’animal aux yeux pétillant se régala en fixant Deamon parmi leurs désirs de cruauté ; la vengeance. Tamiya respirait son dernier souffle, afin d’échapper à leur souffrance. Les deux chats plantèrent leurs griffes jusqu’à ses côtes pour l’écarteler vivante. Le choc de la douleur s’évanouit dans un silence morbide, puisque Bersek avait décidé de prendre sa langue en apéritif. Les muscles furent tendus au maximum pour déformer cette voyante jadis très belle. Alors, ils continuèrent leur travail consciencieux toute la nuit dans un miracle de sourires sadiques.

Sur une caméra, le directeur de la division de recherches scientifiques sur les mutants au sein de Paris arborait ce même joyau d’une joie extrême sur ses traits bourrus. L’homme trapu observait le numéro treize anéantir sa seule branche familiale.

Au bout de trois années, le produit avait développé des aptitudes hors normes autant à l’offensive qu’à la défensive. Par contre, Black Cat n’obéissait que rarement aux ordres ; une torture nécessaire au quotidien pour le dresser. Les organes reproducteurs de Tamiya Blake constituaient une aubaine de première pour les gènes félins qu’il avait créé avec un soin maladif. Grâce à du sang soumis au gène X, un de ses subalternes avait pu innover son sous-sol de curiosités. L’hérédité pure du félin pouvait se mêler aux ovules d’une mutante. Pourtant, la croissance de l’embryon avait révélé la présence d’un chat noir & d’un jeune garçon. Quoique celui-ci portait des attraits de son acolyte. Les jumeaux dormirent très longtemps, avant d’ouvrir leurs iris sur la toile de sang que leur réservait leur vie.

***

Tic... Tac... Tic... Tac... Tic... Tac... Tic.. Tac... Tic... Tac...

Minuit sonna. Aujourd’hui, le jeune ne pouvait compter ses cinq années officielles au sein de l‘Institut. Effectivement, les préceptes de guerre n’adhéraient en rien à l’idéologie des jumeaux. Il s’était volontairement présenté à cette école pour mutants dans le but d’y trouver un semblant de foyer, un semblant de communauté... Ils marchaient le long d’un toit, le Neko ayant une forte préférence à trimballer son revolver partout avec lui. Son cher frère sauta sur son épaule pour le cajoler & mieux observer cette grande mer au-dessus d’eux. Avez-vous déjà regardé les cieux, lorsque la lune est rouge?

L’ancien mercenaire caressa d’une main lasse Bersek en accordant quelques pensées aux événements des derniers jours. Tant de sentinelles, tant de conflits, tant d’humains... Il ne voulait plus obéir aux méchants, mais les préceptes d’ursulines pouvaient se rhabiller. Une montre rustique sur son poignet droit indiquait que deux minutes venaient de s’écouler, cent vingt secondes de pur repos. Il savait qu’il aurait dû rentrer, mais la nuit le possédait, l’orientait vers les zones recluses de tous. Personne n’arrivait à les cerner à l’institut, mais les âmes semblables & félines possédaient un étrange passé. Black Cat s’étendit sur la brique en balançant sa queue de chat avec nonchalance derrière lui. Étrangement, le sommeil vint l’emporter rapidement dans ce lieu lugubre.

Le lendemain, il se faufila dans sa chambre en sachant éperdument que beaucoup de gens avaient deviné leur absence nocturne. Bersek suivit le fainéant jusqu’à son lit - dans lequel il se vautra - afin de s’abrier de ses couvertures pour échapper au monde extérieur. Cette journée, si spéciale, le hantait de remords comme toutes les autres...

Un viol...

Un soupir le conquit dans ses derniers espoirs de conscience, le Neko sombra en tenant la seule présence qu’il voulait près de lui : Bersek. Dormant telle une brique depuis douze heures, son estomac gronda si fort qu’il sursauta en se réveillant de stupeur. Un nouveau sourire cynique aux lèvres, le charmant félin empoigna le cou de son frère pour filer vers les cuisines... Il sentait le poisson fumé pour office de dîner.

:.:.: Type :.:.:

Mutant.

:.:.: Pouvoirs :.:.:

Évidemment, sa mutation physique demeure assez apparente, puisqu’elle est permanente. Deamon est littéralement un chat, malgré sa forme majoritairement humaine. Son lien avec Bersek s’étend presque jusqu’à la télépathie, mais sans réels mots. Ils sont inséparables & identiques, malgré certaines rancunes l’un envers l’autre. Un dialogue entre chats lui convient beaucoup mieux qu’une discussion à deux entre humains ou mutants normaux... Les aptitudes des félins lui reviennent, de même que le don de sa génitrice. Le petit est pourvu du savoir de l’avenir, quoique très complexe. Parfois, il a des messages clairs, d’autres fois, c’est plus sombre. Ses rêves lui dévoilent les secrets du destin qu’il ne garde que pour lui, prévoyant ses jours méticuleusement. Également, c’est un combattant & un tireur hors pair .

:.:.: Vous êtes? :.:.:

Je joue chez les grands ; l‘Institut du Professeur Xavier.

~~Catégorie hors jeu:~~

Quel est votre âge? 17 ans.

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Jouez-vous un personnage de votre création? Évidemment, je suis incapable de jouer un personnage prédéfini ^^

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Bienvenue a toi
tu es validé
Accepte le reglement par contre mais je t'autorise a poster Wink

Bienvenue parmi nous, une preuve de la lecture du règlement et tout sera parfait. Je t'attribue la classe 3.

Bienvenue ^^

J'ai ajouté la preuve du réglement ^^

Désolé, j'étais trop presseux de la mettre - sans déconner, j'avais carrément oublié -

Encore désolé ^^

Bon jeu!