Niana ; Kerr-a, prière aux coeurs sensibles de s'abstenir.-Validée

.:.Pseudo.:.

Kerr-a

.:.Prénom.:.

Niana.

.:.Nom.:.

Inconnu.

.:.Âge.:.

17 ans.

.:.Physique.:.

Au sein d’une société moderne, un être misérable évolue dans l’oeuvre de son élégance mystérieuse. Parmi le treillis, la soie & le satin recouvrant chaque parcelle de sa peau telle la plus grande bassesse de ce monde, ses vêtements noirs lui permettent de se fondre autant la nuit que le jour ; donnant la forte image d’une petite rebelle aux goûts gothiques. Un visage immaculé d’une crème blanche, ses yeux se profilent par des arabesques durs & tranchantes comme des symboles ancestraux. Une bouche délicate & prononcée en un coeur chétif explose de ce même ton sombre. Le nez, très hautain, s’efface par des ombres maigres sur l’ascendance de ses joues émaciées toujours recouvertes de cette pureté inoffensive. Les lobes constellés de breloques se démarquent avec mille éclats sur les pointes métalliques trahissant sa chevelure ondulée. Une mer de boucles déferle sur ses hanches par leur couleur inoubliable. Les variances du noir inculqué à sa racine lui profère des reflets étoilés des grandes beautés naturelles. La seule Vérité visible sur elle par les gens communs se frôlant à la vue singulière de sa crinière instable selon les astres s’y reflétant. Le corps habile s’étirant vers l’état gracile de ses mains aux ongles noirs & taillés en pointe - ses canines de même- se décrivent d’un point sur la dentelle qu’elle privilégie dans ses tenues à la fois pudiques & excentriques. Pourtant, ses longs habits ne dissimulent en rien ses formes d’un charme cadavérique telle une nymphe hantant vos propres rêves. Les arguments de la Lady semblent délicieusement langoureux : la démarche y éclatant d’une félinité avide de mordre. Des bottes en cuir remontent sur ses cuisses en permanence, les lacets de ceux-ci usant d’un mécanisme bien complexe. Amoureuse des corsages, des robes d’antan, son originalité jure avec votre monde.

Toutefois, la morte des rues - surnom des jeunes gens de la ville- ne dévoile jamais son corps. Qu’il s’agisse d’une main ou d’une cheville, cette jouvencelle préfère garder l’Horreur pour elle. Effectivement, son lien avec la normalité n’a jamais existé en raison de son corps très particulier. Derrière les bouts de tissus, une chair inexplicable y réside. Celle-ci revêtit un violet sauvage, peu commun, voir agressant pour les yeux éberlués. Sous les flots incessants de l’astre solaire, le teint s’évapore d’argent, d’or, ainsi que de tendres couleurs douceâtres. Le même récit se passe la nuit, lorsque la couleur d’une nuit de rêve devient plus profonde, plus inquiétante. Des éclats ensorcellent la curiosité par ses vicissitudes titanesques d’ombres radieuses. Caché par des couronnes de soieries, son regard insaisissable possède la variété de l’étrange au coeur de ses iris merveilleux, fantasques & si révélateurs. Ces images uniques s’installent par milliers sur la toile infiniment belle des arcs-en-ciel qui jaillissent inlassablement sur ses yeux de neige, de glace, de flammes, de cendres, d’or, d’argent ,d’azur, d’émeraude, de bronze... Sur ces trésors digne des fantasmes du Sublime survivent des mondes anormaux, cruels, mais si splendides. Certes sobre, sa chevelure l’accompagne entre deux vagues étoilées sur sa démarche volage, candide & envoûtante. Cette illusion semble sortir d’un rêve, mais personne ne peut se permettre de la voir sans la trouver totalement bizarre. Étrangère de cet dimension, la jeune fille mauve brille par sa taille svelte & un ventre maigre. Des formes d’une générosité sans bornes s’y défile d’ailleurs... Des oreilles pointues la différencie des autres, sauf que les grandes anomalies ne s’arrêtent guère ici. Dépourvu du moindre recouvrement, la peau mise à nue renvoie des étincelles autour de sa carcasse étrange. Sur le haut de son dos, un amas de ces émanations rocambolesques s’y retrouve ; variant des tons rosés aux tons océaniques. L’image véloce de la rosière illumine de mystère son aura provocatrice, malicieuse, taquine, élevée aux sublimes diablesses, mais particulièrement inerte ; une tristesse incommensurable aux larmes d’ombre.

.:.Caractère.:.

Comment pouvons-nous raisonner l’oubli, la tristesse & la tendresse?

L’ivresse de vivre a entamé sa descente aux enfers vers les tréfonds les plus malfamés. Un désespoir mystique l’habite, enchaînant volontairement l’inconscience de la Lady qui s’enivre d’une non-allégresse quotidienne. Personnifiant d’une analyse chaque personne qu’elle peut croiser pareille à une machine moderne des nouveaux jours. Un orgueil aussi vaste que les cieux grandit sur ses jours maudits sur cette terre infâme... Pourquoi devrait-elle porter l’humanité en elle? Niana vous déteste tous, car vous la détestez. La norme ne lui laisse aucun répit, aucune liberté. Son âme s’amuse à vos dépens en privilégiant un humour glauque. Inflexible, tenace, ces répliques acerbes vous vaudront le choc de la foudre. Paradoxale, les antithèses de sa propre personnalité l’étonne, puisque la témérité de sa sensibilité enlace l’acte réfléchi de ses sentiments prisonniers d’un château de glace. Elle préfère jauger le capacités d’un potentiel adversaire, plutôt que d’espérer qu’une autre personne comprenne son existence horrible. La mort hante ses rêves, le sang tache ses mains, les inconscients finissent dans l’au-delà. Un trajet sans le moindre sens poursuit le fil du fleuve qui la prend pour passagère, mais l’antique maîtresse du bien se cache dans le gouffre sempiternel de sa vie. Trop solitaire, ses monologues sans réponse en ont effrayé plusieurs ; ce qui lui vaut des jugements bien hâtifs. Pourtant, elle sait répondre par la sagesse & la logique ou ses poings dans les cas nécessaires. N’obéissant qu’à sa propre doctrine, si tu ne possèdes ni lien, ni fonction, te voilà inutile! Elle-même ne demeurant qu’une âme en retrait de tout, des crevasses ternissent la figure inexpressive de son maquillage. Dénudé de ses atouts superficiels, la jeune fille se retrouve terrifiée, malgré une fermeté exceptionnelle pour se défiler.

La forme indescriptible de son caractère se cerne par un manque inconnu, un manque qu’elle a toujours su, un manque qu’elle ne saurait identifier. Niana porte une mentalité complexée d’une nostalgie éternelle : un désir d’affection. Amante de l’indépendance, seules des contraintes essentielles lui font supporter la présence d’autrui. Cependant, elle se cache souvent du regard des autres au fond d’une ruelle. Les extrêmes de la méfiance lui servent de gants, sauf qu’une curiosité maladive la pousse à espionner fréquemment. Peu émotive, son inexpressivité faciale & sentimentale n’empêche aucunement ses mains de s’offrir aux plus démunis. Évidemment, la ténébreuse refuse tout contact physique, car de vieux couteaux reviennent la blesser chaque fois. En combat, les coups lui font moins mal qu’un simple frôlement attentionné - ce qu’elle ne connaît pas - de la part d’un pur inconnu. Demeurant presque dans un état catatonique en permanence, la belle ne se permet de parler que par monosyllabes ou de longs silences, hormis par principe d’ironie égoïste. Les dons d’oratrice ne lui servent que pour son chant écouté par elle-même.

Croyez-vous que Niana peut être expliquée désormais?

.:.Histoire.:.

Désirez-vous valser avec la Folie? Oui? Non? Connaissez-vous l’ampleur de poursuivre ces lignes sans s’attendre à des détails croustillants d’os & giclant d’hémoglobine? Comprenez-vous la douleur de l’amour? Chers humains, si Niana n’aime personne en ce monde pourri, c’est à cause de vous.

Un nouvel élément fut classé dans les dossiers privés des unités défensives, puisque celui-ci provenait d’une source inconnue & particulièrement dangereuse. Classée dans un compartiment secret d’une légion spéciale pour traiter ce phénomène luminescent, l’exclusivité du gouvernement observait l’immense pierre jour après jour. Les ennuis pleuvaient autour d’eux, parce qu’ils ne trouvaient pas comment déchiffrer le code génétique de la <<chose>>. Vagues & imprécis, les rapports frustrèrent le superviseur qui décida d’abolir l’endroit : perte d’argent pour l’armée mondiale. Étrangement, les humains préféraient laisser l’endroit tel quel, plutôt que de s’encombrer de l’anéantir...

L’effet charmant de la pierre mauve se résultait par un mécanisme incompréhensible, mais lié aux astres. Également, la proximité humaine déclenchait des effluves colorées supplémentaires. Ils renvoyaient l’éclat symbolique du cristal, la pureté d’une larme de neige, le coeur d’un récital. C’était un chant contradictoire reflétant les symphonies de l’ancien temps. Ses propriétés classées au paroxysme du mystère, la science oublia cette innovation sans solution. Au moment de partir, l’équipe envoya une nouvelle assistante verrouiller l’accès électronique de la grande pierre mauve. Auparavant, seuls des humains avaient approché l’Élément... Seulement, la jeune femme fut littéralement envoûtée par l’aspect terrifiant & magnifique de la nouveauté.

Alors, elle ouvrit le compartiment & entra dans la salle d’analyse sans la moindre protection. Toute l’équipe devint bouche bée, lorsque la pierre se fondit en une lumière aveuglante pour intégrer le corps de la petite Canadienne. Aussitôt, l’étage souterrain explosa en un flot incommensurable de cendres. L’innommable venait de naître en ce monde. Les mains repliées sur son coeur, une main sous son ventre bien rond, ses pieds nus arpentèrent le sol poudreux sous cette abominable pluie grise ; cette averse de désespoir. Sa crinière brune ondulait. Des yeux saignaient abondamment, tandis que son corps perdait les os. Les lieux dévastés l’engouffrèrent de sa nouvelle folie, l’accouchement prématuré lui lacéra les jambes de ce sang damné. La substance gluante se répandit sur les lambeaux de ses propres habits, elle perdait ses souvenirs peu à peu à chaque contraction. Cette souffrance terrible entraîna le déchirement de l’enfant. La peau s’étira pour se fendre, libérer les viscères lors d’un cri inaudible de la femme.

Éclatée, inerte, décapitée de l’intérieur, la petite chair mauve commença à pleurer pour signifier sa présence... Cependant, personne ne vint. Le nourrisson survécut par miracle dans les déchets restants de sa chère mère. Plusieurs heures plus tard, la jeune monstruosité sentit des bras la supporter, trancher ce bout de peau avec des dents acérées. Elle mordit les doigts de l’humain qui grimaça de dégoût devant le nouveau-né <<démoniaque>>. Dominant la bestiole en la trimbalant par le pied lui suffit pour le ramener à son Maître. Une panthère aux yeux de sable le suivit en mâchonnant le tube de chair : l’animal adorait ce type de viande. L’humain rustre reprit convenablement l’enfant sans nom & le déposa aux pieds délicats du Maître. En fait, c’était une fillette de dix ans qui possédait deux orbites calcinés & crevés, au lieu d’une paire de yeux. Ses mains minuscules prirent la fillette mauve sans se soucier de son bien-être, car son visage inexpressif l’effraya. Le Servant aussi grand qu’un géant prit la gamine sur ses épaules & continua leur marche quotidienne.

Très maigre, la mutante portait une chair douce qui sentait le sang souillé des entrailles de sa chère génitrice. Le colosse ne s’inquiétait guère des plans de sa congénère, sauf qu’il prit la peine de s’en informer pour ne pas entraver ceux-ci :

- Milady, que dois-je faire?

- Cours, cours, cours loin de ces cendres... Il faut éviter les autorités. Cette campagne est trop isolée, trop silencieuse. Nous irons la donner à Kerr, il l’a vu dans ses rêves. Une peau de l’enfer, un regard de verre, c’est elle.

Sa voix monotone conclut ses dires, alors qu’ils descendaient l’angle d’une autre route. Le nourrisson chétif se débattit, pleura une rivière. Quelques claques la firent taire rapidement. Or, elle se plaignit pour sa pitance encore au bout de deux heures, ce qui provoqua l’impatience de la fillette. Elle cracha sur le bébé en l’insultant de tous les noms possibles, accentuant sa laideur primordiale à son caractère de sale mioche.

Le restant du trajet se poursuivit dans la rage de la gamine, le Servant préférant se taire & profiter du comble de sa joie : ne pas avoir à porter l’Horreur. Le froid de la nuit fouettait leur visage d’un sérieux déroutant, quand une trappe en métal souleva cinq mètre de terre pour dévoiler un beau mâle aux longs cheveux noirs tressés. Une subalterne vint prendre l’enfant avec des gants pour ne pas se salir de cette Horreur. Sans prendre la peine de s’informer de la situation, le bel homme regarda la fillette malicieusement. Le petit bébé mauve recommença à piailler désespérément. Certes, la porteuse secoua sa carcasse pour la faire taire. La mission terminée, le soi-disant Kerr mit sa main à nue & appuya férocement un doigt sur le front du bébé.

- Ton existence rimera avec souffrance, car tu es l’obsession, ma terrible possession. Vie d’Horreur, je vais t’apprendre comment ériger ton monde.

***

C’était si froid, tellement froid. L’eau englobait son corps depuis quelques minutes qui ressemblait à des éternités... La vitre opaque lui dévoilait encore la même vue constante sur ses êtres blancs, parfaits. Elle, mauve, admirait sa propre chair demeurer lasse face au litres d’eau glacials qui l’entouraient. Vêtu d’une robe blanche, ses lèvres noyées libérèrent l’air, succombant au désir de la mort pour survivre ailleurs. Un monde, où n’existerait plus la torpeur. Elle, si petite, si menue, fermait avec l’espoir ultime d’une dernière fois, mettre fin à ses quatre années d’existence. Une mémoire si longue se dissimulait sous sa chevelure bouclée d’étincelles.

Battant des bras faiblement, une liane de cuir enserrant son cou la remonta du gouffre. Une voix électronique parla en allemand, alors que le célèbre Kerr rigolait de l’impuissance de l’horrible jeune fille. Elle lui fut amené avec sa laisse, traînant piteusement au sol. L’homme d’une beauté sauvage claqua des doigts : cinq hommes en noir s’avancèrent vers elle en enfilant leurs gants de cuir. Pourquoi toucher la plus immondice des enfants de cette terre? Des chaînes retournant sur ses chevilles enflées & ses poignets fébriles, on l’écarta en l’air. Déjà, son regard ne versait rien, fixant d’un oeil de vautour son cher bourreau. Les fouets lui lacérèrent le dos, on tortilla ses membres, frappa sèchement ses os aux endroits sensibles... Les douleurs causées ne lui provoquaient plus rien, sauf leurs dégâts routiniers. Sa tête ballottait entre le vide & la vie, voletant vers un vétuste infini ivre. Cette souffrance physique n’égalait en rien la perte de son coeur...

Elle sentit des mains gantées jouer avec elle, afin de faire couler son sang si impur du leur. Tétanisée de douleur, sa conscience bascula subitement. Cependant, l’extase de l’échappatoire s’interrompit lors des retrouvailles mémorables avec le bassin d’eau glacée.

Durant ce laps de temps, Kerr revint au-dessus d’elle & plongea subitement à ses côtés. Tirant sur son collier pour tenter de s’échapper le plus rapidement possible, l’homme tira ses cheveux pour la cogner contre la vitre adroitement. Tenant sur place, il cala le monstre violet d’un bon mètre dans la voûte liquide & si froide, avant de...

***

Elle venait de quitter une ruelle sordide de la ville, quand elle évita de justesse un passant. Décidément, la populace de cette région ne connaissait pas le respect d’autrui en ce qui attrait au fait déterminant de laisser passer les nouveaux arrivants en premier. Peu ouverte à assener ces ignobles humains d’un avenant dialogue rempli de cynisme, la dame couverte d’une grande cape noire enjamba un clochard ivre près du trottoir & traversa la voie libre de toute machine à explosion sur quatre roues. Un visage recouvert d’un teint littéralement blanc, des lèvres charnues & sensuelles peinturées de ce noir envoûtant demeuraient sans l’ombre d’un quelconque rictus. Drapée de son indifférence telle son corps de sa dentelle, un sac sur son épaule accompagnait sa vie d’ermite.

L’incohérence de la situation la ramenait sans cesse au vide rempli de sa mémoire. Toutes ces années, tous ces moments, tous ces humains... La misanthrope abaissa le voile d’une sombre transparence pour couvrir ses yeux de verre & analysa son environnement - encore une fois - au sein de la foule. L’étrangère tourna une chaîne de son cou entre ses doigts finement accoutrés de satin, afin de personnifier sa présence à la fois crainte & fascinante. Elle ressemblait à une rosière prestigieuse défilant parmi les gens normaux, ses pas se confondant dans le vent. Indifférente, glaciale, un petit voyou la bouscula en s’engouffrant dans un chemin tortueux. Il courait au loin d’un pas effréné. Toutefois, l’enfant à la chair cachée se dirigea vers lui d’un pas morne.

Remarquant une présence féminine derrière lui, l’adolescent quelque peu séducteur afficha un sourire carnassier. Devant la réaction impassible de la fille, il tenta d’apercevoir un peu l’étendue de son charme d’un oeil pervers, mais une main balaya l’air simplement. Nerveux, pris sur le vif, ses mains tremblantes tirèrent une arme blanche de sa ceinture. Le mouvement se répercuta chez la jouvencelle qui dégarnit son épaule droite. La pointe d’une lame se profila au bout d’un long manche, d’où se reflétait la même lame. De son sac, un fouet se dressa dans sa paume, ainsi qu’une terrible double épée sur la seconde. Éberlué, il voulut retrousser son chemin, mais l’extrémité en cuir agrippa solidement sa taille en lui serrant douloureusement les côtes. La jeune fille s’approcha sans crainte, resserrant la terrible arme double dans son dos sous ses voiles & lui asséna un coup de poing en plein visage. Sa faute rendue, le garçon assommé tomba mollement au sol.

Alors, elle repartit fièrement dans les dédalles de cet endroit pour aboutir à un souterrain privilégié de cette race dite normale. Prenant un engin menant ailleurs, Niana prit se replia du haut de ses dix-sept années pour se fondre dans un coin, seule. La tête lancinante, elle devrait trouver une solution rapide à ses cauchemars, ses crises de somnambulisme, ses fameux vertiges.

Enfin, elle prit un arrêt au hasard & tomba sur cette ville.

.:.Type.:.

Mutante.

.:.Pouvoirs.:.

Réduire la matière en cendres par le biais de la pensée. Heureusement, l’effet est réversible & recompose à l’état initial la matière soumise à la combustion. Cependant, l’utilisation de ce pouvoir entraîne de graves conséquences ; vertiges, migraines, vengeance. L’élément dangereux profère l’éclat d’étincelles en permanence du corps possédé du mutant ; ici, il est question de Niana. Une apparence physique fort singulière, certes sans but offensif, n’est que l’essence même du don maudit.

.:.Qu’êtes-vous?.:.

Indécise - à recruter si tel est un désir exprimé.

Catégorie hors jeu:

Quel est votre âge? 17 ans.

Comment êtes vous arrivée sur ce forum? Par Idril.

Pourquoi vous êtes-vous inscrite? Parce que je le désirais.

Jouez-vous un personnage de votre création? Oui, toujours.

Est-ce votre premier forum? Loin de là, j’en fais depuis plus de trois ans maintenant.

*

Ouais! Toujours aussi descriptive ma grande!

Hey l'idée des cendres c'étaient mon ancienne idée de mutant ça? XD M'enfin coincidence Razz

(( Anyways ça change rien )).

Wooow! Sérieux je vais la garder en souvenir cette fiche là! XD

Très belle fiche des plus complètes. Je te souhaite la bienvenue et te valide sur le champ! Je t'attribue la classe 2. Cependant, ton pouvoir et ton expérience dans le jeu te mèneront sans doute très vite vers la classe 3. Un bon jeu à toi! -> Membre validé

Bienvenue

bon ben la tu es validé Smile

J'allais le dire Xavier Razz